Sainte Catherine.
Portrait psychologique des " Catherine ".
Vocabulaire de la peinture.
Quelques personnes célèbres nées un 24 mars.
Quelques 24 mars dans l'Histoire.
Humeur du jour en photo couleur.
7ème extrait du roman " La Prophétie à la Fleur de Lys ".
Pleins feux sur l'écrivain Maxime Chattam.
Citation du jour.
A) Découvrons :
Aujourd'hui, la sainte patronne du jour est :
Sainte Catherine de Suède ( - ? / 1381 )
Qui était-elle ?
Elle appartenait à la famille royale de Suède, par sa mère, Sainte Brigitte, et par son père Ulf Gudmarson.
Marié à Edgar Lyderson qui était invalide ; tous deux tombèrent d'accord pour ne point consommer le mariage.
A la mort de ce dernier, Sainte Catherine de Suède intègra le couvent de Vadstena où elle fut abbesse.
Aujourd'hui, c'est également les Rameaux ou l'entrée de Jésus Christ à Jérusalem.
L'entrée à Jérusalem occupe une place privilégiée dans la tradition chrétienne : cet épisode figure dans les quatre Evangiles.
Jésus approche de Jérusalem, où il va souffrir la Passion.
Arrivé près du Mont des Oliviers, il envoie deux de ses disciples au village de Bethphagé chercher une ânesse, ou son ânon qui n'a jamais été monté.
Représentations :
Cet épisode apparaît très tôt, dans des sarcophages paléochrétiens, vers le IVème siècle.
La scène est simplifiée : le Christ est à califourchon sur son âne qui relève la tête ; un ou plusieurs enfants étendent des manteaux devant son passage. Jésus est accompagné d'un ou deux disciples.
Zachée, perché sur son arbre, apparaît parfois : au Moyen-Age, cet épisode est traité à part.
Dans le domaine byzantin, le christ est assis de côté, et non à califourchon, et l'âne baisse la tête.
On retrouve ces caractéristiques byzantines dans des œuvres d'artistes italiens du Moyen-Age ( mosaïques, XIIème siècle, Palerme, chapelle palatine ) jusqu'au XIVème siècle environ.
La scène s'enrichit de différents détails et de nouveaux personnages.
Portrait psychologique des " Catherine " selon l'excellent et récréatif ouvrage de Pierre le Rouzic
" Un prénom pour la vie "
Ce sont des nerveuses des colériques, d'une grande émotivité.
Elles perdent assez rapidement leur sang-froid.
Certes, comme leur animal totem, le cygne, elles peuvent paraître altières et dédaigneuses, mais en réalité, elles sont anxieuses.
Psychisme :
Elles ont volontiers la dent dure, elles sont peu influençables, assez introverties, avec une petite tendance fâcheuse à tout ramener à elles. Elles sont aussi trop subjectives.
Volonté :
Ne vont pas jusqu'au bout des choses. Un peu velléitaires.
Emotivité :
Trop présente pour les laisser réfléchir au risque d'être un peu mordantes dans leurs répliques.
Réactivité :
Grande nervosité due à une grande émotivité.
Activité :
Plutôt mince, mais elles font illusion car leur dynamisme est tel qu'à les voir agir on a l'impression qu'elles sont indispensables.
Intuition :
Moyenne
Intelligence :
C'est ici le domaine absolu de la " gamberge ".
Affectivité :
Possessives, impulsives, presque tyranniques.
Moralité :
Dépend des circonstances et des événements.
Ont tendance à rendre le ciel responsable de leurs malheurs.
Vitalité :
Bonne vitalité, mais santé incertaine, trop soumise au psychisme.
Besoin de détente, de repos, de beaucoup de sommeil. Le régime doit être équilibré car le système nerveux est fragile.
Sensorialité :
Portent souvent le " masque " d'indifférence, souvent pour se protéger d'où de cruels malentendus.Dynamisme :
Il confine à l'agressivité. Elles ont besoin de réussite pour exister. De là, viendra leur dynamisme.
Sociabilité :
Se perdent un peu dans leurs connaissances. Ont du mal à " trier ".
Conclusion :
Si elles savent travailler les élans du cœur, la douceur, on ne les aimera que mieux.B) Apprenons :
Le vocabulaire de la peinture
Cadre :
Elèment mobilier destiné à assurer la présentation et la protection des œuvres d'art à deux dimensions
( peinture, dessin, gravure, broderie ) ou en bas relief.
Dérive de l'italien QUADRO.
Le cadre, au sens strict, n'existe que pour une œuvre d'art mobile, rigide ( à l'exclusion des livres ou des rouleaux extrême-orientaux ) et autonome par rapport à l'architecture où elle prend place.
Moyen-Age et Renaissance :
Au XIIIe siècle, le cadre fait encore partie du panneau peint, se caractérisant par une simple bordure en relief. De nombreux exemples de cette technique se trouvent dans l'art byzantin et l'art russe.
A la fin du XVe siècle se développe en Toscane le TONDO, tableau rond dont le cadre imite la couronne de fleurs des médaillons de terre cuite de LUCA DELLA ROBBIA.
Le cadre peut aussi jouer un rôle dans la représentation de la profondeur : ainsi, dans la Justice de l'Empereur Othon ( Bruxelles, M.R.B.A), DIRK BOUTS, n'hésite pas à placer dans la partie supérieure de son tableau deux fines arcatures flamboyantes en bois découpé, qui représentent en relief l'entrée de la pièce où se situent la scène de l'Epreuve du Feu.
En Italie, se généralise au XVIe siècle, un nouveau type de cadre de tableau : il se définit par son profil composé de 3 parties : entre 2 moulures, généralement dorées, une large bande plate décorée d'un motif peint.
XVIIe et XVIIIe siècle :
La division du cadre en 3 zones persiste, mais avec moins de rigueur : les motifs d'angle et de centre deviennent plus importants et sont souvent en relief.
L'originalité du cadre français devient plus nette au XVIIème siècle.
Les riches cadres du règne de Louis XIII ressemblent tout d'abord aux prototypes italiens : ils restent assez plats et sont décorés d'un motif continu de rubans, de rinceaux et surtout de feuilles.
Peu à peu, le profil devient plus arrondi, tandis que des fleurs sculptées décorent angles et centres.
Avec le règne de Louis XIV, se confirme l'importance de l'art décoratif français, qui prend la première place en Europe.
Les modèles sont donnés par des ornemanistes comme Jean Lepautre, Robert Cotte, Jean Berain, Daniel Marot, et par Le Brun lui même.
Aux Pays-Bas, les cadres sont sombres, peints en noir, avec un décor guilloché.
De même en Flandre, en Espagne.
Elèment mobilier destiné à assurer la présentation et la protection des œuvres d'art à deux dimensions
( peinture, dessin, gravure, broderie ) ou en bas relief.
Dérive de l'italien QUADRO.
Le cadre, au sens strict, n'existe que pour une œuvre d'art mobile, rigide ( à l'exclusion des livres ou des rouleaux extrême-orientaux ) et autonome par rapport à l'architecture où elle prend place.
Moyen-Age et Renaissance :
Au XIIIe siècle, le cadre fait encore partie du panneau peint, se caractérisant par une simple bordure en relief. De nombreux exemples de cette technique se trouvent dans l'art byzantin et l'art russe.
A la fin du XVe siècle se développe en Toscane le TONDO, tableau rond dont le cadre imite la couronne de fleurs des médaillons de terre cuite de LUCA DELLA ROBBIA.
Le cadre peut aussi jouer un rôle dans la représentation de la profondeur : ainsi, dans la Justice de l'Empereur Othon ( Bruxelles, M.R.B.A), DIRK BOUTS, n'hésite pas à placer dans la partie supérieure de son tableau deux fines arcatures flamboyantes en bois découpé, qui représentent en relief l'entrée de la pièce où se situent la scène de l'Epreuve du Feu.
En Italie, se généralise au XVIe siècle, un nouveau type de cadre de tableau : il se définit par son profil composé de 3 parties : entre 2 moulures, généralement dorées, une large bande plate décorée d'un motif peint.
XVIIe et XVIIIe siècle :
La division du cadre en 3 zones persiste, mais avec moins de rigueur : les motifs d'angle et de centre deviennent plus importants et sont souvent en relief.
L'originalité du cadre français devient plus nette au XVIIème siècle.
Les riches cadres du règne de Louis XIII ressemblent tout d'abord aux prototypes italiens : ils restent assez plats et sont décorés d'un motif continu de rubans, de rinceaux et surtout de feuilles.
Peu à peu, le profil devient plus arrondi, tandis que des fleurs sculptées décorent angles et centres.
Avec le règne de Louis XIV, se confirme l'importance de l'art décoratif français, qui prend la première place en Europe.
Les modèles sont donnés par des ornemanistes comme Jean Lepautre, Robert Cotte, Jean Berain, Daniel Marot, et par Le Brun lui même.
Aux Pays-Bas, les cadres sont sombres, peints en noir, avec un décor guilloché.
De même en Flandre, en Espagne.
C) Redécouvrons :
Quelques personnes célèbres nées un 24 mars...
Louis Constantin de Rohan
24 mars 1697 / 11 mars 1779
Cardinal français, évêque de Strasbourg
Mariano José de Larra
24 mars 1809 / 13 février 1837
Considéré comme l'un des meilleurs représentants du Romantisme littéraire espagnol
Joseph Barbera
24 mars 1911 / 18 décembre 2006
Cofonda en 1957, Hanna-Barbera Cartoons
René Andrieu
24 mars 1920 /
Résistant, journaliste, écrivain, membre du PCF
Steve Macqueen
De son vrai nom Terence Steven Macqueen
24 mars 1930 / 07 novembre 1980
Acteur, producteur, pilote automobile et pilote moto américain
Jean-Louis David
24 mars 1934
Coiffeur français, il a vendu ses 1200 salons, en 2003, à l'américain Régis Corporation
Tommy Hilfiger
24 mars 1951
Styliste américain
Quelques 24 mars dans l'Histoire...
24 mars 1207 : A Rome, Jean sans Terre s'étant opposé au pape au sujet de la nomination de l'archevêque de Cantorbéry, Innocent III jette l'interdit sur le royaume d'Angleterre.
24 mars 1267 : Saint-Louis ( Louis IX ) réunit ses chevaliers pour préparer la deuxième croisade.
24 mars 1455 : A Rome, mort du pape Nicolas V ; Calixte III lui succède.
24 mars 1596 : La Paix de Boulogne met fin à la guerre qui opposait l'Angleterre à l'union de la France et de l'Ecosse.
24 mars 1603 : Les couronnes d'Angleterre et d'Ecosse sont réunis par l'accession au trône du roi Jacques 1er, à la mort de la reine Catherine 1ère.
24 mars 1657 : Blaise Pascal met tout son talent au service de la cause janséniste.
Les 18 lettres qui composent Les Provinciales font sensation.
24 mars 1721 : En Russie, refonte de l'administration par Pierre le Grand : tous les fonctionnaires sont répartis selon quatorze degrés du Tchin ( table des rangs ) ; chaque degré correspond à un grade militaire.
24 mars 1837 : Le Canada donne le droit de vote aux noirs.
24 mars 1860 : Le royaume de Sardaigne cède le comté de Nice et la Savoie à la France par le Traité de Turin.
24 mars 1883 : Première liaison téléphonique entre New-York et Chicago.
24 mars 1916 : Le président Wilson menace de rompre les relations diplomatiques avec l'Allemagne si celle-ci ne cesse pas la guerre sous-marine à outrance.
24 mars 1929 : Les fascistes remportent les élections en Italie où ils étaient les seuls à se présenter.
24 mars 1934 : Citroën présente le premier modèle de la 7CV, traction avant.
24 mars 1948 : Le droit de vote est octroyé aux femmes en Belgique.
24 mars 1965 : Sortie en France, du film le Corniaud de Gérard Oury avec Bourvil et Louis de Funès.
24 mars 1976 : Les militaires prennent le pouvoir en Argentine après avoir renversé et emprisonné la présidente Isabel Peron.
24 mars 1988 : Election de Michel Debré à l'Académie Française au fauteuil n°1.
24 mars 2001 : Epidémie de fièvre aphteuse : Pour endiguer l'épizootie, la Grande-Bretagne entame l'abattage de milliers d'animaux.
Humeur du jour en photo couleur :
LE VERT
Voici le 7ème extrait de mon roman de style historique intitulé " La Prophétie à la Fleur de Lys "
Œuvre inscrite et protégée par la Société des gens de lettres, la SGDL
Hôtel Massa
38 rue du Faubourg Saint Honoré
75004 Paris
Tome 1er
Chapitre 1er
... Suite
- Oui ! Ca y est ! Je vois ! Vite ! Ecrivez ; ce sont des mots !
Les deux hommes prirent de quoi noter…
- Ecrivez : " Par deux … Non ! Attendez ! Il y a autre chose… Ce sont des images ! Oui, ça y est, je vois ! C’est un calice ! C’est une croix ! C’est une fleur ! Oui, c’est un lys ! Notez, messieurs, notez ! ".
C’est ce qu’essayèrent de faire Jean et Léonard mais Nostradamus ne leur en laissa pas le temps...
- Attendez, messieurs, attendez ! Il y a autre chose ! Ce sont des chiffres… Oui, ça y est, je vois ! C’est le « cinq » ! C’est le « deux » ! C’est le « un » ! Notez, messieurs, notez !
Les deux hommes s’exécutèrent lorsque, tout à coup, Nostradamus se tut, s’effondra sur la table et n’en bougea plus…
Que s’était-il passé ? Rien ; il venait juste de s’assoupir…
En attendant, Léonard demeurait là, cloué sur son siège, et ne savait plus quoi faire tant il était impressionné…
- Mais que fait-il, demanda-t-il doucement à son ami, il dort ? Et ma réponse, alors ?
- Patience, mon ami, patience ! lui susurra-t-il à l’oreille, cela ne saurait tarder…
En effet, au bout d’un quart d’heure, Nostradamus revint à lui...
- Excusez-moi, messieurs… Nous pouvons continuer...
- Ah ! Parce que ce n'était pas encore terminé ? lui demanda Léonard.
- Non, lui répondit Nostradamus, il faut encore déchiffrer toutes ces notes et pour cela, je dois consulter l’Ecriture et quelques autres grimoires... Euh, sans nom…
Attendez-moi ici, je vais les chercher ; ce ne sera pas long...
- Mais je vous en prie, monsieur, faites donc ! lui fit Léonard.
Et Nostradamus partit chercher ses livres…
Quelques instants plus tard, ce dernier revint les bras chargés d’ouvrages qu’il posa soigneusement sur la table.
- Bien ! Qu’est-ce que tout cela peut bien vouloir dire ? demanda-t-il aux deux hommes.
C’est exactement ce qu’ils voulaient savoir, eux qui n’avaient pas bougé d’un pouce et qui ne manquaient pas d’être intimidés par cet étrange docteur qui faisait comme si de rien n’était et qui poursuivait tranquillement son travail...
Nostradamus ; recherchant la transcription parfaite, sincère et véritable de ce fatum, ne semblait guère satisfait de ses premiers essais...
Aussi, recommença-t-il souventesfois avant que de recopier sur une feuille de papier cette
« prédiction » sous forme de sixain qu’il tendit à Léonard.
- Tenez, voici votre avenir...
Léonard saisit la feuille et la lut...
- Mais, qu’est-ce que cela veut dire ? Je n'y comprends rien !
- Cela veut dire, cher monsieur, que la réponse à votre question se trouve dans ces mots mais qu’il vous faudra certainement beaucoup de temps et de sagesse pour en saisir toute la portée...
Léonard tenta une deuxième lecture puis, butant sur « fleurs de roys » et « deux royaumes »,
se dit, qu’après tout, il y avait là-dedans suffisamment d’avenir pour être satisfait...
Aussi, remercia-t-il Nostradamus puis s’en alla en compagnie de son ami, Jean.
Si tous deux étaient arrivés tôt à Marseille, ils en repartirent fort tard dans la soirée et ce, pour n’être reconnus de personne et lorsqu’ils arrivèrent à Salon-de-Provence, épuisés et éreintés, ils eurent encore à raconter à Sarah et à Gaspard ; auditoire conquis et émerveillé ; leur périple marseillais.
Ces derniers, rassérénés, ne manquèrent pas de louer le Seigneur pour tant de bonté manifestée, après quoi, ils rejoignirent le sieur de Bompard puis soupèrent ensemble.
Vint alors le moment de se faire des adieux et c’est encore Léonard qui prit la parole.
- Cher monsieur de Saint-Paul, au nom de tous les miens, je tenais à vous remercier pour votre indéfectible amitié… Tenez, voici une bible ayant appartenue à Guillaume Farel, je vous l’offre...
- Vraiment ? Oh, merci mon ami ! s’écria monsieur de Saint-Paul, visiblement ému...
Bien ! Je suppose que vous aimeriez aller vous coucher, désormais…
- C’est le cas, oui ; nous avons une longue route à faire demain, j’espère que vous comprenez…
- Mais bien sûr que je comprends, mon ami ! Faites donc !
- Soit ! Alors, bonne nuit, monsieur de Saint-Paul et merci encore…
- Bonne nuit, mes amis ! Allez en paix et que votre vie soit un exemple pour nos frères qui ont tant souffert…
- Nous n’y manquerons pas, lui répondirent les de la Tour…
- Pas plus que de recouvrer ce titre de marquis par la grâce de Dieu en général et par la
« prédiction » en particulier, rajouta Léonard...
Puis, tout le monde alla se coucher…
Pleins feux sur l'écrivain
" MAXIME CHATTAM "
Son vrai nom est Maxime Guy Sylvain Drouot.
Romancier français né, le 19 février 1976, à Herblay dans l'Oise.
Membre du collectif d'artistes, " La Ligue de l'Imaginaire ".
Il suit des études en criminologie et fait de fréquents séjour aux USA.
Inspiré par Stephen King, chacune de ses œuvres est faite de courts chapitres.
La tension est permanente, les scènes d'horreur intenses, les héros émouvants car gardant une part de mystère dans ces enquêtes qui semblent impossibles.
Son souci de réalisme nous ouvrent les portes des dernières technologies de la police scientifique.
Lire Chattam, c'est ENTRER dans l'Histoire dès la première ligne.
C'est aussi devenir le " témoin angoissé " des épreuves que les héros ont à surmonter.
Chacun de ses romans nous transforme en lecteur impatient car commencer la lecture d'un de ses romans nous fait sombrer dans un impératif de tout premier ordre :
Continuer jusqu'à la fin pour savoir et connaître ses rares moments de stupéfaction.
Merci monsieur Chattam !
Pour en savoir plus :
Citation du jour :
Voulez-vous compter vos amis ? Empruntez-leur de l'argent !
Alexandre Dumas Fils